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Concours d’accès au Master Finance Fiscalité & Comptabilité (FFC) : Exemple
Durée : 1H –
QCM – 40 questions – Cochez la ou les bonnes réponses
- Dans le calcul de l’IS, les intérêts comptabilisés sur comptes courants d’associés sont déductibles :
A) Si le capital est entièrement libéré
B) Si le taux d’intérêt est inférieur au taux fiscal fixé par le ministère
C) Si le montant des comptes courants ne dépasse pas le capital
D) Si l’entreprise n’est pas en déficit fiscal - Le régime d’imposition forfaitaire concerne :
A) Les entreprises exonérées d’IS
B) Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires inférieur à un certain seuil
C) Les entreprises nouvellement créées
D) Les entreprises à prépondérance immobilière - Le ratio de liquidité générale mesure :
A) La capacité à rembourser les dettes à court terme avec les actifs liquides
B) La capacité à faire face aux dettes à court terme avec l’actif circulant
C) La trésorerie immédiate
D) Le niveau de fonds de roulement - L’effet de levier financier est positif si :
A) La rentabilité économique est supérieure au coût de la dette
B) Le taux d’endettement est faible
C) Les capitaux propres sont importants
D) Le résultat d’exploitation est négatif - Le besoin en fonds de roulement d’exploitation (BFRE) augmente lorsque :
A) Le délai de rotation des stocks diminue
B) Le crédit clients s’allonge
C) Le crédit fournisseurs augmente
D) Le chiffre d’affaires baisse - La capacité d’autofinancement (CAF) est un indicateur de :
A) La trésorerie disponible
B) La rentabilité nette
C) La capacité de remboursement
D) La richesse générée par l’activité - Le seuil de rentabilité en valeur est atteint lorsque :
A) La marge sur coût variable couvre les charges variables
B) La marge sur coût variable couvre les charges fixes
C) Le chiffre d’affaires est maximal
D) Le résultat net est positif - Le risque d’exploitation est lié :
A) Au niveau du levier financier
B) À la structure des charges fixes d’exploitation
C) Au taux d’intérêt des emprunts
D) Au poids des immobilisations - Une augmentation du BFR nécessite :
A) Une réduction des stocks
B) Un financement supplémentaire
C) Une augmentation du chiffre d’affaires
D) Une réduction des capitaux propres - Le ratio de rotation des stocks est égal à :
A) Stock moyen / coût d’achat des marchandises vendues
B) Coût des ventes / stock moyen
C) Chiffre d’affaires / stock final
D) Stock final / achats - Le taux de rentabilité financière est égal à :
A) Résultat net / capitaux propres
B) Résultat d’exploitation / actif économique
C) EBE / chiffre d’affaires
D) Résultat net / chiffre d’affaires - Un cash flow positif et un résultat net négatif peuvent s’expliquer par :
A) Des dotations aux amortissements élevées
B) Une augmentation des stocks
C) Une baisse des dettes fournisseurs
D) Des cessions d’immobilisations - Le ratio d’endettement net est :
A) Dettes financières / capitaux propres
B) (Dettes financières – trésorerie) / capitaux propres
C) Dettes totales / actif total
D) Capacité d’autofinancement / endettement - Le cycle d’exploitation est :
A) La période entre l’achat des matières et l’encaissement client
B) La durée de vie des immobilisations
C) La période de remboursement des emprunts
D) Le délai de rotation des capitaux propres - Le ratio de couverture des intérêts mesure :
A) Le résultat d’exploitation / charges d’intérêts
B) La CAF / charges financières
C) Le résultat net / charges d’intérêts
D) Les capitaux propres / dettes financières - Une baisse du fonds de roulement net global peut être due à :
A) Une augmentation des dettes à long terme
B) Une diminution des immobilisations
C) Une augmentation du BFR
D) Une augmentation des capitaux propres - Le ratio de liquidité réduite exclut :
A) Les stocks de l’actif circulant
B) Les créances clients
C) La trésorerie
D) Les dettes fournisseurs - L’amortissement dégressif :
A) Est obligatoire pour toutes les immobilisations
B) Est calculé sur la valeur résiduelle
C) Est plus élevé les premières années
D) Concerne les immobilisations corporelles et incorporelles - Une provision pour dépréciation des stocks est comptabilisée :
A) En charge
B) En produit
C) En diminution de l’actif
D) En passif - Les écarts de conversion actif :
A) Sont des produits potentiels
B) Sont des charges potentielles
C) Résultent de la variation des taux de change
D) Sont toujours constatés en produits - La méthode de l’amortissement linéaire :
A) Est interdite en comptabilité
B) Est utilisée pour les immobilisations dont l’utilisation est régulière
C) Donne des dotations constantes
D) Est plus rapide que le dégressif - La cession d’une immobilisation entraîne :
A) Une perte ou un gain
B) Une variation du fonds de roulement
C) Une augmentation de la trésorerie
D) Une modification du bilan - La variance d’une variable aléatoire X :
A) Mesure l’écart moyen par rapport à l’espérance
B) Est le carré de l’écart-type
C) Peut être négative
D) S’exprime dans l’unité au carré de X - Si X suit une loi normale N(μ, σ²), alors P(μ – σ ≤ X ≤ μ + σ) est environ :
A) 50 %
B) 68 %
C) 95 %
D) 99 % - La loi de Poisson :
A) Approxime la loi binomiale quand n est grand et p petit
B) Décrit le nombre de succès dans n épreuves
C) A pour espérance λ
D) Est une loi continue - Un estimateur est sans biais si :
A) Sa variance est minimale
B) Son espérance est égale au paramètre estimé
C) Il converge vers la vraie valeur
D) Il est efficace - L’intervalle de confiance à 95 % pour une moyenne :
A) Contient la vraie moyenne avec une probabilité de 95 %
B) Dépend de l’écart-type de l’échantillon
C) Est plus large si l’effectif est petit
D) Est toujours symétrique autour de la moyenne - La covariance entre deux variables :
A) Mesure leur liaison linéaire
B) Est indépendante des unités
C) Peut être normalisée pour donner le coefficient de corrélation
D) Est toujours positive - Dans un test d’hypothèse, rejeter H0 à tort est :
A) Une erreur de type I
B) Une erreur de type II
C) Un risque α
D) Un risque β - La médiane d’une série :
A) Partage la série en deux effectifs égaux
B) Est sensible aux valeurs extrêmes
C) Est toujours inférieure à la moyenne
D) Est un paramètre de dispersion - Le PIB nominal diffère du PIB réel car :
A) Il inclut les variations de prix
B) Il exclut les importations
C) Il est calculé aux prix constants
D) Il inclut les subventions - La politique monétaire restrictive :
A) Augmente la masse monétaire
B) Diminue les taux d’intérêt
C) Lutte contre l’inflation
D) Stimule l’investissement - Le multiplicateur keynésien est d’autant plus fort que :
A) La propension à consommer est faible
B) La propension à importer est forte
C) Le taux d’intérêt est élevé
D) La propension à épargner est faible - Un avantage comparatif existe si :
A) Un pays produit tout mieux qu’un autre
B) Un pays a un coût d’opportunité inférieur
C) Les coûts absolus sont identiques
D) Les dotations factorielles sont égales - La courbe de Phillips relie :
A) Inflation et chômage
B) Revenu et consommation
C) Taux d’intérêt et investissement
D) Salaire et productivité - La théorie des avantages comparatifs est associée à :
A) Adam Smith
B) David Ricardo
C) John Maynard Keynes
D) Karl Marx - La balance courante inclut :
A) Les échanges de biens et services
B) Les investissements directs
C) Les transferts courants
D) Les réserves de change - La politique budgétaire expansionniste :
A) Augmente les impôts
B) Réduit les dépenses publiques
C) Stimule la demande agrégée
D) Est procyclique - Le coût d’opportunité est :
A) Un coût comptable
B) Ce à quoi on renonce en faisant un choix
C) Un coût irrécupérable
D) Un coût marginal - La théorie du cycle du produit (Vernon) explique :
A) La localisation des firmes multinationales
B) La formation des prix
C) La croissance endogène
D) L’inflation par les coûts
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